Infos pratiques Inde / Septembre 2009 à Février 2010
 
Monnaie : Ruppies Indiennes : env. 50 Rps pour 1 USD
 
Possibilité de retirer du cash partout dans les villes avec les cartes Visa, Mastercard et Maestro.
 
Formalités de douane : si vous arrivez par bateau, un seul mot d’ordre : PATIENCE ! 3 jours au minimum pour récupérer le véhicule. Avec les jours fériés, ça peut s’allonger à 10 jours… Il n’y a rien d’autre à faire que de suivre la procédure et son transitaire… Quoi qu’on tente pour faire accélérer, c’est voué à l’échec et risque de ralentir encore les choses !
 
Visa : Valable 6 mois. Attention, si vous sortez d’Inde pour une escapade au Nepal ou au Bengladesh, il se peut qu’on vous demande de patienter 2 mois avant de pouvoir revenir en Inde. Les theliot.fr ont pu faire le forcing en présentant l’échéance de leur visa pakistanais (direction Népal-France).
 
Prolongation : Toujours possible pour le visa, mais pas forcément pour le véhicule…
 
Immigration : Pas de problèmes.
 
Récupération du véhicule après shipping : env. 700 USD tout compris… les heures d’attentes incluses !
 
Assurance véhicule : Aucune exigence. Environ 1000 Rps pour 1 an.
 
Carnet de passage en douane : Nécessaire. Un inventaire du chargement est demandé par le transitaire. Pas besoin d’entrer dans les détails, malgré leur insistance.
 
Taxes de sorties : Aucune.
 
Taxes supplémentaires : Aucune
 
Tracasseries administratives : Aucune.
 
Voyager
 
Nous distinguerons l’Inde du Sud et l’Inde du Nord.
 
Au Sud : il est très facile de voyager et de bivouaquer. Même en l’absence complète de camping, on trouve aisément où se poser, en bord de mer, en bordure de forêt, sur un parking. Les gens sont assez respectueux et relativement peu envahissants. Parfois la police fait un passage pour se renseigner ou pour vous inviter à bivouaquer devant le poste de police.
 
Au Nord : plus difficile. Toujours pas de camping évidemment. Il y a du monde assez systématiquement et peu d’endroit « nature ». On se retrouve régulièrement en bordure de route, bercés par les klaxons, rots, crachats et autres vacarmes nocturnes des chauffeurs de camions. Nous avons finalement évité les stations services qui offraient des toilettes, de l’eau et un resto à proximité pour nous rabattre sur les stations hors service ou plus petites. Un garde. Pas de clients. Parfait ! Parfois les parkings d’hôtel. Mais c’est la loterie. Tantôt on peut rester gratuitement, tantôt, c’est hors de prix.
 
Quelques bivouacs :
 
A Mumbai et dans les grandes villes : nous avons opté pour des entrées et sorties des villes en pleine nuit, lorsque le trafic se calme un peu. Pour les bivouacs, souvent en plein centre, on trouve un calme relatif pour la nuit, lorsque la ville dort. Par contre, en journée…, ça dépend. A Mumbai, nous étions le long de la mer, à côté d’Indian Gate, idéal.
 
Etat de Goa : attention, les fils électriques sont bas. Véhicule de plus de 3,20m de haut, avancer avec précaution. Quelques bons sites :
 
Arambole : Morjim beach, quelques kilomètres au sud d’Arambole, à côté du temple exceptionnellement silencieux, seul face à la mer !
 
Agonda Beach : tout au sud de la plage, sous les cocotiers à 10 mètre de la mer.
 
Etat du Kerala : splendide état, avec de jolies plages et de la nature très accueillante et paisible. Bivouac :
 
Varkala, sur la parking surplombant la plage. Parfait.
 
Tamil Nadu : ça se complique progressivement par rapport à la côte ouest. Un bon plan : à Madurai, dans le parc du musée de Gandhi, 100 Rps la nuit.
 
Au Nord : du monde et du bruit…
 
A Varanasi, l’hôtel Surya accueille les véhicules pour 300 Rps/jour, électricité et plein d’eau possible, piscine et café internet. S’il vous plaît, si vous y allez, saluez de notre part Prashant le responsable de l’internet café.
 
New Delhi : le long du Nehru Park, dans le quartier des ambassades. Alternative : North Avenue, à côté du Palais présidentiel, avec un wi-fi libre au niveau des numéros 25 à 40 de la rue.
 
Aéroport de Delhi : se rendre au parking de l’aéroport avant 22h. On y trouve encore des places confortables pour réceptionner ou déposer quelqu’un. Entre 22h et 2h30, c’est bondé, voire inaccessible pour certains véhicules trop larges.
 
Chandigargh : escale obligatoire sur la route d’Amritsar. Calme absolu, bivouac à côté du lac artificiel et du Rock Garden, pour une ballade reposante et une bouffée d’oxygène.
 
Amritsar : difficile. Nous avons opté pour le quartier du cantonnement, en face de la propriété du juge militaire.
 
Jaipur : nous conseillons de sortir de Jaipur et de stationner 5 km au nord, en face du palais d’Amber. Magnifique.
 
Ajmer : nous avons opté pour Pushkar, à 15 km. Petite ville très cool. Plusieurs hôtels vous proposeront une option camping à bon tarif.
 
Bundi : en face du petit lac, à côté du poste de police. Jolie vue.
 
Approvisonnements
 
Eau : aucune difficulté dans tout le Sud et très peu de problèmes au Nord.
 
Carburant : Diesel : 0,80 USD / litre
 
Gaz GPL : on trouve assez régulièrement des Auto-Gas avec le même adaptateur qu’en Europe pour faire le plein d’un réservoir GPL à la station service.
 
Lessive : pas de machines à laver, mais des tarifs corrects pour un lavage à la main de qualité en général (5-10 Rps par pièce).
 
Sciure : au moment où nous en avions urgemment besoin, une énorme scierie est apparue sur le bord de la route… Comme d’habitude, pas de problème !
 
Coût de la vie : dans l’ensemble, très, très bon marché, en particulier les restos. On mange à 6 pour moins de 10 USD en général.
 
Divers
 
Internet : ça dépend. En général de nombreux internet café avec de bonnes connexions.
 
Routes : dans l’ensemble, le réseau routier est. C’est déjà ça !
 
Conduite : Oubliez tout ce qu’on vous a dit sur la conduite en Inde ! C’est pire que ça ! On vous laisse relire nos carnets de bord pour les détails. Mots d’ordre : con-cen-tra-tion, len-te-ment, vi-gi-lan-ce !
 
Sécurité: à part sur la route ou vous risquez concrètement votre vie chaque fois que vous roulez, il n’y a pas d’insécurité en Inde.
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Infos pratiques : Asie
Infos pratiques Malaisie: Octobre-Novembre 2010
 
Monnaie : Ringgit MYR. 10 MYR = 3 USD environ.
Possibilité de retirer des ringgits dans tous les distributeurs automatiques. Il y en a partout où on a besoin d’argent, sauf dans les Pérenthian Islands.
Formalités de douane : plusieurs postes frontières depuis la Thailande. On nous a coneillé celle qui suit le route n°4, les autres passant dans des zones plus « tendues » paraît-il.
Visa : Autorisation de séjour de 90 jours, sans frais, renouvelables en sortant du pays et en y retournant dès que souhaité.
Immigration : Cinq minutes. Rien à signaler.
Véhicule : le carnet de passage en douane est tamponné. Autorisation de même durée que pour les personnes. Attention : en sortant du poste frontière, prendre une autorisation temporaire d’importation, gratuite. Pour l’obtenir, assurance obligatoire.
Assurance véhicule : Exigée pour obtenir l’autorisation internationale de circuler. Env. 50 dollars pour 3 mois.
Carnet de passage en douane : Il est tamponné à la douane.
Taxes de sorties : Aucune.
Taxes supplémentaires : Aucune.
Tracasseries administratives : Aucune.
 
Voyager
Il est extrêmement aisé de voyager en camping-car en Malaisie. Les routes sont excellentes, quoique plus fréquentées qu’en Thailande. Les plages de la côte Est sont splendides. Les ravitaillements sont simples, notamment dans les stations Petronas pour l’eau. Dans chaque ville, on trouve des grands supermarchés, sauf sur la côte Est, où le style de vie et de consommation est moins occidental que sur la côte Ouest. Et partout, mais absolument partout, il y a des McDo.
 
Quelques bivouacs :
Nous n’avons pas listé nos bivouacs dans ce pays. Rien de spectaculaire, mais rien de compliqué non plus.
 
Approvisonnements
Eau : Aisé, dans les stations service Petronas.Pour l’eau potable, possibilité de remplir des bouteilles pour 1 USD les 20 litres, dans les fontaines à Muslim Water.
Carburant : Diesel : 0,90 USD / litre
Gaz GPL : On trouve du gaz naturel en station service, mais pas de GPL.
Lessive : Moins d’un dollar le kilo.
Sciure : Comme d’habitude, pas de problème.
Coût de la vie : Bon marché dans l’ensemble, mais parfois fruits et légumes chers, parce qu’importés. Un peu plus cher que la Thailande en général.
 
Divers
Internet : Ca marche bien, on trouve aisément des connexions et des wifi.
Routes : Très bonnes routes.
Conduite : Conduite à gauche. Beaucoup de voitures, en particulier aux abords des villes. Ils roulent vite et près.
 
En bref :
Pays très facile, ambiance musulmane modérée, accueil très chaleureux des habitants et beaucoup d’intérêt de leur part pour le voyage et le véhicule. Mode de vie à orientation occidentale, nuancée par une religion qui apporte une culture spécifique. Les Pérenthianes Island sont un must à ne pas rater.
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Infos pratiques Thailande : Septembre 2010
 
Monnaie : Bahts. 30 Bahts = 1 USD environ.
Possibilité de retirer des baths dans tous les distributeurs automatiques. Il y en a partout où on a besoin d’argent.
 
Formalités de douane : plusieurs postes frontières depuis le Cambodge. Nous avons choisi celui tout au Sud-Est du golfe de Thailande.
 
Visa : Visa gratuit de 2 mois obtenus à l’ambassade de Thailande. Jusqu’en août 2011, les visas suivront cette règle.
 
Immigration : Cinq minutes. Rien à signaler.
 
Véhicule : le carnet de passage en douane est tamponné, mais on reçoit en fait un document d’importation temporaire, qui mentionne la durée autorisée. Celle-ci est d’un mois seulement, mais on peut la faire prolonger dans n’importe quel bureau de douane, une fois dans le pays. Nous l’avons fait à Bangkok en suivant les instructions fournies par camion 4x4. Très facile, moins d’une heure. Voici le document à montrer au taxi à Bangkok pour se rendre au bon endroit : Prolongation autorisation véhicule en Thailande.
 
Assurance véhicule : Une assurance au tiers MIT est exigée. Lors de notre première entrée en Thailande depuis Ventiane au Laos, personne ne nous l’a demandé et nous n’en avons pas pris. En revanche, à la frontière Sud depuis le Cambodge, nous prenons une assurance valable un an, pour 45 USD.
 
Carnet de passage en douane : Il est tamponné à la douane.
 
Taxes de sorties : Aucune.
 
Taxes supplémentaires : Aucune
 
Tracasseries administratives : Aucune. La prolongation de l’autorisation pour le véhicule est gratuite. Nous avons demandé à avoir la même durée que nos visas.
 
Voyager
 
Il est extrêmement aisé de voyager en camping-car en Thailande. Les routes sont excellentes, les plages sont aménagées et splendides. On s’arrête où l’on veut, en fonction de ses goûts. Les ravitaillements sont simples. Dans chaque ville, on trouve deux ou trois grands supermarchés. Et partout, mais absolument partout, il y a des supérettes « 7 Eleven », pour dépanner. En particulier, on y trouve des glaçons fort pratiques par la chaleur ambiante.
 
Quelques bivouacs
 
Nous n’avons pas listé de nombreux bivouacs parce que vous aurez autant de plaisir à les découvrir par vous-mêmes que d’arriver sur un lieu que vous chercherez parfois pendant quelques temps au lieu de profiter simplement de vous installer ailleurs. Dites-vous bien que tout endroit peut se transformer en bivouac, tant que vous êtes le long des côtes et plages. En revanche, dans les terres, il faut parfois chercher un peu. Cela dit, nous avons aimé :
 
Bangkok
Le quartier du palais royal. Nous étions sur l’immense place Sanam Luang, mais elle est en transformation et probablement ne sera plus utilisée en parking. On peut toujours essayer. Au pire, dans le quartier, on trouve de quoi stationner aisément et la nuit, c’est plutôt calme.
 
Ko Samui
Au Nord : baie de Hat Mae Nam. Notre premier bivouac fut à côté du débarcadère des speed boat Lomprayah, qui vont sur Ko Phanang. Correct.
Dans le coin, il y a une autre plage, plus sauvage et plus tranquille. Pour y accéder depuis Na Thon : sur la route qui mène de NaThon à Hat Mae Nam, repérer le centre de bien-être dont le panneau publicitaire (à gauche de la route) mesure 3 mètres sur 3 mètres. L’image est celle d’un bébé flottant entre deux eaux (cf. pochette du disque de Nirvana pour ceux qui connaissent). Depuis là, guetter le premier 7Eleven à gauche et tourner sur la rue dont il fait l’angle. 300 mètres plus loin, vous y êtes.
 
Pour trouver la plage depuis le débarcadère Lomprayah mentionné ci-dessus: rejoindre la route principale et partir à droite, direction Nathon. Guetter alors le premier 7Eleven sur la droite et tourner sur la rue dont il fait l’angle.
 

Au Sud : sur la route 4170, entre le Wat Laem Saw et la jonction avec la route 4173, repérer le « Yoga Thailand Center ». Il y a une petite route qui y mène, en direction de la mer. Au bout de la route, vous verrez à gauche le Yoga center et devant vous, une petite piste de 100 mètres vous conduit sous les cocotiers pour un bivouac super sympa sur la plage. Notre préféré sur l’île.
 

Côte d’Andaman
 
Nord de l’île de Pukhet
Nous avons aimé la plage de Hat Khao Lak. Le Tsunami a dévasté la zone. La plage est sauvage, on y accède en suivant une route qui semble mener nulle part et on se retrouve le nez dans la mer. Seul ! Génial.
 
Au Sud de Krabi
En suivant la route 4046 en direction de Trang, vous passez par Sikao. Prendre alors direction mer, en suivant les indications pour l’aquarium. Une fois à l’aquarium, prendre à gauche au minuscule rond point qui encercle un petit phare. Environ 300 mètres plus loin, juste derrière une paroi rocheuse que vous contournez, tourner à droite. Ambiance île déserte, Crusoë, avec un bivouac dans la grotte pour les moins angoissés ou sur la plage. Fabuleux.
 
Côte Ouest du Golfe de Thailande
Entre Hua Hin et Prachuap Khiri Khan.
 
Parc National de Khao Sam Roi Yot : pas besoin d’entrer dans le parc ni de payer quoi que ce soit pour accéder à la Dolphin Bay, magnifique plage avec quelques infrastructures fort agréables. Pour y aller : en arrivant du Nord, à Pranburi, prendre au 1er feu à gauche. Rouler 3-4 km, passer la voie ferrée, puis encore 1 km. Prendre alors à droite. Rouler 18 km jusqu’à la plage. Se repérer en suivant les indications pour le « Dolphin Bay Resort ». Une fois face à la plage choisissez votre endroit préféré. En prenant à droite, quelques centaines de mètres plus loin, un ressort avec chaise longue sur la plage vous offre accès libre à la piscine et à internet après le repas consommé. Accueil très sympa.
 
Approvisonnements
 
Eau : Aisé, dans les stations service notamment. Pour l’eau potable, possibilité d’acheter des bidons de 21 litres consignés pour 12 à 14 Bahts (0.40 USD).
Carburant : Diesel : 0,90 USD / litre
Gaz GPL : Il y en a en Thailande, en station service. Au Nord nous avons pu faire le plein sans problème. Au Sud, les pistolets ne correspondaient pas à notre système.
Lessive : 20 à 30 Baht / kilo. (Moins d’1 USD)
Sciure : Comme d’habitude, pas de problème.
Coût de la vie : Bon marché dans l’ensemble.
 

Divers
 
Internet : Ca marche bien, on trouve aisément des connexions et des wifi.
Routes : Très bonnes routes.
Conduite : Conduite à gauche. Les véhicules sont essentiellement des pick-up, souvent puissants et rapides. Les thai roulent vite et parfois près les uns des autres. Pour Bangkok, nous sommes entrés dans la ville à minuit et sortis à 6h du matin. Cette stratégie nous permet de rouler sans encombre et avec fluidité. Sinon, c’est bouché !
 
En bref
Pays très facile, ambiance vacances, mode de vie occidental. Repos garanti. Nature splendide et étonnamment préservée et accessible malgré un tourisme abondant. Nous parlons essentiellement des plages.
 
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Cambodge : voyager en camping-car. Juillet 2010
Monnaie : Riels et le Dollar. 1 USD = 4'000 Riels environ.
 
Possibilité de retirer des dollars dans tous les distributeurs automatiques. En fait, la monnaie nationale est utilisée pour les petites sommes et pour remplacer les cents de dollar.
 
Formalités de douane : plusieurs postes frontières depuis la Thailande ou le Laos. Nous sommes entrés par le Sud du Laos, le poste étant désormais ouvert et la route en bon état.
 
Visa : Visa d’un mois à 26 USD par personne.
 
Immigration : Une somme de 1 USD est demandée par passeport, pour couvrir les frais de tampon ( ?!).
 
Véhicule : D’après d’autres témoignages, ça peut aller très vite et très bien. Pour nous, ça a été plutôt long... Sous la vitre qui recouvre le bureau de l’officier des douanes, un billet de 10 USD annonce la couleur. Sans commentaires. Nous n’avons pas glissé d’argent dans notre carnet de passage en douane. L’homme a pris une heure avant de nous confier en secret que son chef demandait de l’argent pour faire les papiers. Refus de notre part. Une heure d’attente. L’homme nous propose d’appeler notre ambassade au Cambodge, pour que l’ambassadeur intervienne auprès des douanes centrales. Nous simulons un appel. Nous sommes navrés, l’ambassadeur est sorti. Il sera de retour dans 3 jours. Sourire. Une heure passe. L’homme nous propose alors de nous rendre au poste des douanes de la première ville, afin d’y faire remplir nos papiers là-bas. Nous déclinons l’offre, prétextant ne pas oser rouler sans avoir nos papiers en règles. Véro est très crédible dans le rôle de la Suissesse paniquée. L’homme cède et tamponne notre carnet de passage.
 
Attitude : Durant les trois heures que nous avons attendu patiemment, nous avons gardé le sourire et avons évité de nous énerver. Nous avons simulé de ne pas comprendre, tout simplement. Nous étions prêts à passer la nuit là et étions déterminés à ne pas verser un cent de « cadeau ». Un principe. Notre manière à nous de faire changer les choses sur le long terme : refuser de compenser les trop faibles salaires versés par le gouvernement à ses employés.
 
Assurance véhicule : Aucune exigence. Nous n’avons pas cherché.
 
Carnet de passage en douane : Il est finalement tamponné à la douane.
 
Taxes de sorties : Aucune.
 
Taxes supplémentaires : Aucune
 
Tracasseries administratives : Aucune.
 
Voyager
 
Contrairement à ce qui nous avait été dit, nous n’avons ressenti aucune insécurité au Cambodge. Nous avons bivouaqué dans les villes, sur les bords des rivières ou dans les parkings d’hôtel, en fonction de nos envies et besoin. Il est très facile de trouver des chambres d’hôtel pour 10 USD et ainsi profiter d’une clim’ ou d’une piscine. On peut aussi utiliser seulement le parking, parfois même gratuitement.
 
Quelques bivouacs :
 
Siem Reap : le jardin du EarthWalker Guest House est parfait. Pour 10 USD on jouit du calme du coin, de l’accès à la piscine, d’un wi-fi gratuit, des douches et des WC. Le tout avec une équipe très sympa.
 
Accès : depuis la route 6 en direction de l’aéroport, prendre à gauche au panneau « TomTom Karaoke », env. 500 mètres avant « Les senteurs d’Angkor ». La guest house est juste en face du « Sky Massage ».
 
Battambang : nous avons bivouaqué devant le site de Phare Ponleu Selpak. Les représentations du cirque ont lieu le jeudi soir.
 
Phnom Penh : le parking du Cambodiana Hôtel est idéal. Environ 500 mètres après le Palais Royal, à gauche, le long de la rivière, là où elle rejoint le Mekong.
 
Otress Beach : une plage sauvage et belle, mais pour combien de temps ? Des travaux sont prévus pour aménager une promenade en dur. N10°34.193 E103° 33.207 Pour y aller depuis Phnom Penh, prendre la route numéro 4, légèrement payante mais en excellent état, contrairement, semble-t-il aux autres qui descendent au Sud.
 
Approvisonnements
 
Eau : Aisé, dans les stations service notamment. Pour l’eau potable, possibilité d’acheter des bidons de 20 litres consignés pour 1 USD.
 
Carburant : Diesel : 0,80 USD / litre
 
Gaz GPL : Pas cherché. Il y en a en Thailande, en station service.
 
Lessive : Environ 1 USD/kilo.
 
Sciure : Comme d’habitude, pas de problème.
 
Coût de la vie : dans l’ensemble plus cher qu’au Laos. Le dollar fausse les prix.
 
Divers
 
Internet : souvent des wi-fi, gratuits dans les guest house. Bonne connexion en général.
 
Routes : Nous sommes restés sur les axes principaux : très bonnes routes.
 
Conduite : Conduite à droite, plutôt disciplinée et sans encombre. Même dans Phnom Penh on circule sans grande difficulté.
 
Sécurité: nous n’avons pas connu le moindre problème d’insécurité.
 
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Infos pratiques Laos: juin 2010
 
Monnaie : le Kip, environ 10'000 Kip = 1 €
 
Possibilité de retirer du cash partout dans les villes avec les cartes Visa, Mastercard et Maestro.
 
Formalités de douane : rapides et simples à l’entrée depuis le Yunnan. Le bureau de douane pour le carnet de passage du véhicule se trouve à 15 km après le poste frontière.
 
A Chong Mek, dans le Sud du Laos depuis la Thailande, tout se trouve au même endroit.
 
Visa : Visa d’un mois qu’on obtient au prix de 23 dollars à la frontière directement. Pour les ressortissants suisses, autorisation de séjourner 15 jours sans visa et gratuitement. Idem en Thailande. Il est donc possible de « naviguer » entre les 2 pays gratuitement aussi longtemps que souhaité. Immigration : Pas de problèmes.
 
Véhicule :  aucun problème, pas de visite, pas de question.
 
Assurance véhicule : Aucune exigence. Au poste frontière de Chong Mek, nous avons pris une assurance pour 10 USD.
 
Carnet de passage en douane : Carnet de passage tamponné sans difficulté. En fonction du douanier, ça prend quelques minutes ou un peu plus… Ils ne connaissent pas tous le carnet de passage en douane.
 
Taxes de sorties : Aucune.
 
Taxes supplémentaires : Aucune
 
Tracasseries administratives : Aucune.
 
Corruption : à la sortie du Laos au Sud en direction du Cambodge, à 15 km des 4'000 îles, le douanier insiste lourdement pour obtenir 5 dollars, puis 3, puis 1 dollar avant de renoncer devant notre sourire patient et catégorique à la fois.
 
Voyager
 
Il est très facile de voyager et de bivouaquer. Les Lao sont extrêmement sympas et nous laissent une paix complète. Peu de curieux, peu de monde, aucun trouble. On s’installe où l’on veut, en ville comme à l’extérieur.
 

Quelques bivouacs :
 
Luang Prabang : le long du Mekong, calme et joli. Un petit saut à Pizza Sasa permet en outre de se régaler d’une excellente pizza feu de bois et de rencontrer Séb et Anne, installés là depuis 2008.
 
Luang Prabang, 30 km au Sud : les waterfalls de Xiangsi. L’endroit est paradisiaque et à ne manquer sous aucun prétexte. Piscines naturelles turquoises offrent fraicheur et détente garantie. Bivouac sur le parking des waterfalls.
 
Sur la route de Luang Prabang à Vang Vieng : à mi-parcours, une aire d’arrêt perchée sur une colline qui surplombe une vallée grandiose, offre une vue spectaculaire sur les montagnes, avec WC et douche à disposition, un resto et même ravitaillement en eau et électricité.
 
Pakse : au débarcadère, à côté de la gare routière des gros bus VIP. Bruyant et animé jusqu’à 22h, ensuite, paix royale. Couvert à dispo pour profiter de l’ombre, prise électrique disponible, mais rester discret, apparemment, c’est pas prévu pour nous…
 
4'000 îles : parking surveillé à côté de l’embarquement pour les îles de Khone et de Dondet.
 
Approvisonnements
 
Eau : il y en a partout sur l’axe principal de la N13.
 
Carburant : Diesel : 1 USD / litre
 
Gaz GPL : pas cherché. Il y en a en Thailande en revanche, disponible aux stations services. Nous avons fait le plein entre Vientiane et Pakse du côté Thailandais.
 
Lessive : entre 6'000 et 10'000 kip le kilo. On trouve facilement à Luang Prabang, Vientiane et Pakse.
 
Sciure : Comme d’habitude, pas de problème, aux abords des villes, plusieurs scieries.
 
Coût de la vie : les restos sont plus chers qu’en Inde, Nepal. Environ 12 à 20 dollars pour un repas local à 6. 30 à 40 dollars pour un repas à l’occidentale. Pour le reste, les supermarchés sont approvisionnés et offrent des produits importés au prix d’origine, voire majoré.
 
Nourriture : les Lao mangent de tout : rat, écureuil, chien, tête de poule, cafards, … Difficile de trouver des repas végétariens satisfaisants. A goûter les rouler de printemps frais (non frits). Un régal.
 

Divers
 
Internet : Dans les villes touristiques, nombreux internet cafés, 6'000 kip l’heure en général. Bonnes connexions. Quelques wi-fi gratuits et libres, en particulier dans certains restos.
 
Routes : Nous sommes restés sur les axes principaux : très bonnes routes. Les pistes sont bien entretenues, mais peuvent devenir impraticables sans 4x4 en saison des pluies.
 
Conduite : Très peu de circulation, même à Vientiane, la capitale. On roule à droite. En Thailande, c’est à gauche. Attention quand on passe de l’un à l’autre trop souvent… on peut se méprendre en reprenant la route après une pause !!
 
Sécurité: nous n’avons pas connu le moindre problème d’insécurité. Eviter évidemment la zone interdite où se meurent en cachette les derniers Hmongs, traqués par les armées Lao et Vietnamienne, dans le Nord Est.
 
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NAVO : 10 raisons de boycotter cette agence chinoise
 
Pour passer de l ‘Inde à l’Asie du Sud-Est, nous avons renoncé à shipper Casita directement vers Singapour et avons préféré passer par le Tibet et le Yunan, en roulant. Ca revenait au même prix et on se réjouissait de visiter ces contrées. Expérience faite, nous la déconseillons vivement. En particulier, nous déconseillons expressément de recourir aux services de l’agence chinoise NAVO pour un tel périple. Voici 10 raisons de faire autrement :
 
1.     Le Prix. NAVO pratique apparemment des prix environ 30% plus élevés que ses concurrents, sans autre raison visible que celle d’abuser.
2.     Opacité. Les prix demandés ne couvrent finalement qu’une partie des frais. On découvre, lorsqu’on n’a plus le choix,  qu’il faut encore payer les visas (95USD par personne), 220 USD d’intérêt, etc.
3.     L’incompétence. NAVO n’a aucune idée de l’état des pistes et routes au Tibet et son guide n’a jamais fait le chemin. Ils travaillent sur la base de documents sans vérifier les infos sur le terrain.
4.     La rigidité. NAVO ne tient pas compte des besoins des véhicules et de l’équipage. Le programme est standard et parfaitement inadapté au groupe, tant du point de vue des distances à parcourir que des délais.
5.     L’inconscience. NAVO n’a aucune conscience des risques encourus par les voyageurs. Elle s’en moque en les niant.
6.     Mauvaise foi. NAVO manipule les informations qu’elle divulgue partiellement, s’assurant ainsi de piéger ses clients. Elle pratique la langue de bois et renverse les responsabilités lorsque des reproches lui sont adressés.
7.     Orientation profit. NAVO pratique la politique du « qui paie, paie ». C’est tout ce qui l’intéresse. Elle n’accorde aucun intérêt aux membres du groupe. Son seul intérêt est d’encaisser, vite, beaucoup et ensuite de se débarrasser du groupe, vite, n’importe comment.
8.     Menaces. Pour parvenir à ses fins, NAVO utilise volontiers la menace : amende, prison, expulsion ou pire, interdiction de sortir du territoire chinois.
9.     Il existe d’autres agences en Chine. Nous avions décliné une offre intéressante parce que l’organisateur nous disait « il faut que je me renseigne pour le Tibet, je ne connais pas bien la région.» Aujourd’hui, nous savons que nous avions là un homme honnête qui aurait probablement pris le soin de préparer le voyage concrètement. Dommage.
10. On peut visiter le Tibet et le Yunan en y faisant un petit tour à pied, depuis le Laos, le Vietnam ou le Nepal.  Moins cher, plus libre, plus serein.
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Infos pratiques Chine / Mai 2010
 
Monnaie : Yuan (RMB) : 10 RMB = 1 Euro environ
 
Possibilité de retirer du cash partout dans les villes avec les cartes Visa, Mastercard et Maestro.
 
Voyager en véhicule: pour conduire son propre véhicule en Chine, il est nécessaire de passer par l’intermédiaire d’une agence de voyage Chinoise. Celle-ci prépare un dossier complet, définit l’itinéraire, demande les autorisations nécessaires pour entrer, visiter ou séjourner dans les districts, ainsi que celles indispensables pour visiter les sites touristiques. En outre, l’agence met à disposition, c’est à dire impose, un guide qui voyagera dans le véhicule. Pour tout cela, l’agence vous demande tous les papiers dont elle a besoin et quelques informations supplémentaires, qu’elle fait ensuite traduire en chinois.
 
Lire aussi : NAVO, 10 bonnes raisons de choisir une autre agence pour son voyage en Chine.
 
Documents et informations à fournir :
 
Documents pour le véhicule : carte grise, rapport du contrôle technique, attestation officielle du bon état du véhicule, assurance internationale (pas obligatoire), 4 photos (1 par côté).
 
Informations complémentaires sur le véhicule : marque, type, modèle, année, numéro de plaque, n° de châssis, n° de moteur, type de moteur, puissance, valeur.
 
Documents pour les conducteurs et passagers : passeport, permis de conduire national, 5 photos.
 
Informations sur les conducteurs et passagers : Nom, Prénom, Sexe, Nationalité, N° passeport, profession, date de naissance.
 
Prix : difficile à estimer, aucune transparence sur les tarifs. Apparemment ça dépend du nombre de jours essentiellement. Nous avons payé 3800 euros pour 21 jours.
 
Suppléments : au prix ci-dessus, ajouter 95 USD par personne pour les visas chinois si le Tibet est inclus dans le programme. Compter en outre 20 euros par jour en moyenne pour l’hébergement et la nourriture du guide, non compris dans le tarif.
 
Dépôt de garantie : la Chine ne reconnaît pas le carnet de passage en douane. Un dépôt de garantie est donc exigé pour le véhicule. Le montant varie selon l’estimation de la valeur du véhicule. Celle figurant sur le carnet de passage en douane sert néanmoins de base au calculateur chinois. Dans notre cas, l’agence a effectué le dépôt et nous avons payé un intérêt : 150 euros.
 
Visas : les visas sont à prendre personnellement à l’ambassade de Chine. Dans notre cas, puisque nous passions par le Tibet, nous devions prendre un visa de groupe et passer par l’intermédiaire d’une agence népalaise à KTM pour obtenir notre visa chinois. 95 USD par personne, autant pour les enfants, si le visa doit être pris en moins de deux jours. Si l’agence travaille mieux que la nôtre (NAVO), il est possible de prendre le visa de groupe pour 50 USD par personne avec un délai de 3 jours.
 
Programme : l’agence établit un programme détaillé qu’il faut respecter. En particulier, il est essentiel de respecter les délais de sorties de chaque province et évidemment, ne pas dépasser la validité du visa.
 
Formalités de douane : prise de la température des passagers électroniquement à la frontière et risque de mise en quarantaine, inspection en règle du véhicule. Si l’on passe par le Tibet, toute référence explicite au Dalai Lama est prohibée : photo, livre, drapeaux de prière, …
 
Assurance véhicule : L’agence se charge de contracter une assurance.
 
Voyager
 
On suit le guide ! On suit le programme ! C’est simple et c’est compliqué !
 
Approvisonnements
 
Eau : pas de difficulté ni au Tibet ni au Yunan. Les camions Chinois refroidissent leurs freins à l’eau. On trouve partout des points de ravitaillement.
 
Carburant : Diesel : 0,80 USD / litre
 
Gaz GPL : pas cherché.
 
Lessive : on trouve des pressings. Prix à la pièce : 0.20 euro.
 
Sciure : Comme d’habitude, pas de problème.
 
Coût de la vie : eux disent que c’est bon marché. Ils comparent au coût de la vie européen. Un repas au resto en famille coûte environ 10 euros.
 
Dans l’ensemble, on a trouvé plutôt cher. Les entrées des sites en particulier. On paie souvent, y compris pour un site naturel comme les rizières du Yunan, ou la forêt de pierre. Les enfants paient dès qu’ils dépassent 1,20 mètre.
 
Divers
 
Internet : difficile à trouver des internets cafés et quand on les trouve, impossible de trouver une place. Ils sont bondés de gamins qui passent leur journée à jouer, tirer, tuer virtuellement, en fumant réellement.
 
Routes :
 
Tibet : très, très difficile. Essentiellement des pistes, en travaux ou amochées par les éboulements, la neige, l’eau. Des pierres sur le chemin, de la boue, des ornières, des tronçons complètement défoncés, des précipices vertigineux sans barrières, des bords de pistes qui s’affaissent, de nombreux camions à croiser sur une largeur de 3,50 – 4 mètres. Des cols, des cols, des cols. En une journée, compter environ 3-5 cols avec des dénivelés de 2000 à 3000 mètres. Epuisant. Dangereux.
 
Yunan : moins de pistes, autant de montagnes et des routes qui secouent, trouées ou bosselées.
 
Bref, s’il y a des tronçons d’autoroute peinards, ce ne sont pas eux que l’on voit le plus souvent. On roule beaucoup, longtemps, chaque jour et dans des conditions très difficiles.
 
Conduite : On roule à droite. Bonne chance pour comprendre le système des présélections et celui des feux. Le principe pour s’en sortir : freiner, klaxonner, observer, avancer. Attention, les scooters sont tous électriques et silencieux. Tendre l’oreille ne sert à rien.
 
Sécurité: les risques sont liés à la route et à l’altitude. Les 10 premiers jours depuis le Népal, on circule essentiellement entre 4000 et 5200 mètres d’altitude. Risque de mal d’altitude. Pas toujours possible de descendre en-dessous de 3’800 mètres dans un délai raisonnable, donc danger. Sinon, le plus risqué, ce sont les pistes Tibétaines.
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Infos pratiques Nepal : mars 2010
 
Monnaie : Ruppies Népalaises: env. 80 Rps pour 1 USD
 
Possibilité de retirer du cash partout dans les villes avec les cartes Visa, Mastercard et Maestro.
 
Formalités de douane : plusieurs postes frontières en arrivant d’Inde. Nous sommes entrés par Nepalganj. Bonne route pour y accéder.
 
Visa : Visa d’un mois ou de trois mois disponibles à l’entrée. Le visa d’un mois est prolongeable à Kathmandou. Dans notre cas, (nous sommes restés 2 mois) le visa de trois mois s’est avéré plus avantageux que le visa d’un mois prolongé de trente jours. Visa gratuit pour les enfants de moins de 10 ans.
 
Particularité : si vous pensez retourner en Inde après la visite du Népal, vérifier au préalable les conditions de visa pour l’Inde. Au moment où nous y étions, l ‘Inde exigeait un séjour hors de ses frontières de minimum 2 mois avant d’accorder un nouveau visa ou un retour dans ses terres.
 
Immigration : Pas de problèmes.
 
Véhicule :  Dès qu’on a repéré la petite cabane de la douane, pas de problème. Pas de taxes, ni de frais.
 
Assurance véhicule : Aucune exigence. Nous n’avons pas cherché.
 
Carnet de passage en douane : Il est tamponné à la douane, mais pas sûr qu’il soit nécessaire.
 
Taxes de sorties : Aucune.
 
Taxes supplémentaires : Aucune
 
Tracasseries administratives : Aucune.
 
Voyager
 
Il est très facile de voyager et de bivouaquer. On trouve des guest house dans les jardins desquelles on peut stationner pour un prix très modiques, voire gratuitement selon les cas. Le bivouac sauvage est tout aussi aisé en ville de Pokhara ou sur les bords de route. Seule Kathmandou pose quelques difficultés. Voir les coordonnées GPS pour un lieu agréable à KTM.
 
Le Népal a de gros problèmes d’électricité. Compter en moyenne 6 heures d’électricité disponible par jour. Les internets cafés sont parfois munis de générateurs ou de batteries, mais pas toujours. Toujours vérifier les horaires de coupure de courant avant de prévoir l’utilisation d’outils électriques, à moins d’avoir une parfaite autonomie.
 
Quelques bivouacs :
 
Bardia, Terai Ouest : le Forestia Hideaway Lodge nous a accueilli pour la modique somme de 150 Rps népalaise par jour, eau et électricité comprise. Personnel hyper serviable, ambiance familiale, cadre naturel et sauvage. Le lieu parfait pour se détendre et profiter de la jungle.
 
Chitwan, Terai central : plusieurs lodges acceptent que l’on parque dans leur jardin gratuitement, pour autant que l’on prenne un repas au moins dans leur resto. Camping sauvage proposé par les Theliot, au bord de la rivière : N27°34.892 , E084°28920
 
Pokhara : Bishnou Lodge, vers l’extrémité nord de LakeSide offrait à 200 Rps un bivouac propre et calme quand nous y étions, jusqu’à ce que les bulldozers retournent le jardin pour créer un chemin de halage. Accueil très commercial, mais souriant. N28°13.260 E083°57.363.
 
Pokhara : le grand terrain vague…ment de camping au centre de LakeSide est parfait, gratuit et calme pendant la nuit.
 
Kathmandou : difficile de bivouaquer à Kathamandou. Nous avons opté pour l’unique adresse connue, mais un peu chère à 300Rps, sans eau et sans électricité. Compter 100 Rps de plus pour l’électricité (max. 6 heures par jour). Ne compter pas sur l’eau, Kathmandou n’en a pas. C’est un jardin-camping, à côté du Swayambou Temple, le temple aux singes au sommet de la colline. Propre, calme et clôturé. Sur la Ring Road, prendre la direction du Swayambou Temple. Devant le temple, 3 immenses statues de Bouddha en or. Prendre le chemin qui monte légèrement à la droite des statues. Après 200 m environ, à droite derrière un chariot de babioles, un portail bleu marqué d’un triangle blanc indique le « camping ». N27°42920 E085°17.084
 
Approvisonnements
 
Eau : pas vraiment de difficulté dans le Sud et à Pokhara. En revanche, très difficile à Kathmandou où l’eau est un vrai problème pour les habitants. Possibilité de faire le plein d’eau sur la route entre Pokhara et Kathmandou, dans la montagne, où l’eau ruisselle des falaises et où les camions citernes s’approvisionnent.
 
Carburant : Diesel : 0,80 USD / litre
 
Gaz GPL : pas cherché.
 
Lessive : Eviter de faire faire sa lessive au Forestia Hideaway. Mieux vaut la faire soi-même, c’est le seul bémol de l’adresse. Sinon, à Pokhara et KTM on trouve des machines à laver pour 70 Rps le kilos à Pokhara et 50 Rps le kilo à KTM.
 
Sciure : Comme d’habitude, pas de problème, aux abords des villes, plusieurs scieries.
 
Coût de la vie : dans l’ensemble bon marché, mais plus cher qu’en Inde. Vêtements, bouffe et en particulier les restos.
 
Divers
 
Internet : si on trouve de nombreux Internet Café à Pokhara et des Wi-Fi gratuits dans bon nombre de restos, la qualité de la connexion est variable, souvent médiocre. Les coupures d’électricité compliquent encore les choses. A KTM même chose. A Bardia, connexion rudimentaire par modem téléphonique.
 
Routes : Nous sommes restés sur les axes principaux : très bonnes routes. Les 50 derniers kilomètres en direction de la frontière Chinoise sont en revanche de piètre qualité, mais sans difficulté.
 
Conduite : Si vous avez roulé en Inde auparavant, vous apprécierez la faible densité de véhicules. Les chauffeurs de car restent des chauffards de cœur !
 
Sécurité: nous n’avons pas connu le moindre problème d’insécurité, même lorsque les rues sont bloquées par les maoïstes... Le touriste passe son chemin et fait le détour qu’on lui indique sans être inquiété.
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