Infos pratiques : Amérique du Sud
Infos pratiques Chili partie centrale : Janvier 2011
 
Monnaie : Pesos Chilien. 1000 pesos = 2 USD
Possibilité de retirer des pesos dans tous les distributeurs automatiques.
Formalités de douane :
1ère entrée par bateau à Valparaiso, voir rubrique Shipping Malaisie-Chili.
2ème entrée, au Nord, par la douane de San Pedro de Atacama (Paso de Jama depuis l’Argentine) Aucune difficulté d’immigration, pas de visa, pas besoin de carnet de passage en douane. Attention : contrôle phyto-sanitaire, voire rubrique tracasserie
Visa : néant.
Immigration : Cinq minutes. Rien à signaler.
Véhicule : un document d’importation provisoire est délivré, valable 3 mois.
Assurance véhicule : Pas nécessaire.
Carnet de passage en douane : pas besoin.
Taxes de sorties : Aucune.
Taxes supplémentaires : Aucune.
Tracasseries administratives : contrôle phytosanitaire. Sont interdits à l’importation en principe : fruits, légumes, viande, produits laitiers, graines (maïs, lentilles séchées) artisanat en bois, objet en bois non peint, condiments, miel, œufs.
 
Dans les faits pour nous, nous avions mangé nos produits frais, caché confitures et olives et déclaré une motte de beurre et des lentilles cuites, seules choses qui restaient dans notre frigo. Nous avions aussi caché notre encens. Le douanier a jeté un œil sans rien faire ouvrir et s’est contenté d’une question : pas de fruits, pas de légumes ? D’autres voyageurs ont passé 4 heures en douane, vidé le véhicule et laissé sur place leur cagette en bois.
 
Voyager
Pas de difficultés. En période de vacances, les lacs du Sud sont bondés. Très facile de bivouaquer sur les plages du Pacifique ou le long des rivières dans les vallées vers la Serena, tout comme dans la région des lacs. Agréable de pouvoir acheter en saison : framboises, fraises, abricots, fromages, raisins, etc. Les échoppes le long des routes sont à recommander, produits frais de qualité à très bas prix.
 
Routes. Nous n’avons pas fait la careterra australe. Les autoroutes sont souvent payantes et chères. Réseau routier de très bonne qualité.
 
Bivouacs. Grande liberté. On s’arrête où l’on veut. Ce pays offre des bivouacs isolés  de toute beauté, sans risques et sans difficulté.
 
Quelques bons bivouacs :
 
Plage de Ritoque : à 50 km au Nord de l’horrible Vina del Mar, suivre direction Quintero, puis prendre à gauche. Cadre naturel, familial, eau froide, grand air.
 
Observatoire de Mamaluca : demander l’autorisation de bivouaquer après la séance d’observation.
 
Vallée de Vicuna depuis la Serena. Rouler lentement et repérer les chemins qui mènent à la rivière. Agréables bivouacs les roues dans l’eau.
 
Salto de Laja, 40 km au Nord de Los Angeles. Aller voir les chutes, puis faire demi-tour et au lieu de reprendre l’autoroute, la longer sur 1 km et prendre la piste à droite avant le pont qui enjambe l’autoroute. Environ 15 km de piste avant de pouvoir descendre au bord de la rivière. Accès payant (1000 pesos la journée).
 
Pucon. Termas de Huife. Los Pozones. Possibilité de bivouaquer au-dessus des termes, gratuitement, terrain grillagé avec portail, robinet à disposition pour l’eau.
 
Puerto Varas. A droite de l’hôtel La Cumbre, vue splendide sur le lac.
 
Budget. A peu près moitié prix qu’en Europe. Restos inabordable pour famille de 6.
 
Approvisonnements
Eau : Aisé, dans les stations service, voire dans les rivières ou lacs. L’eau est souvent potable en plus.
Carburant : 1 USD/litre.
Gaz GPL : L’entreprise Lipigas refuse de remplir notre réservoir pour des raisons de sécurité. Vive les pays moins développés !!
Lessive : 1000 pesos le kg
Sciure : Comme d’habitude, pas de problème, même dans le désert. Par contre, payante entre 2 et 4 dollars le gros sac.
 
Divers
Internet : Ca marche bien, on trouve aisément des connexions et des wifi.
Conduite : Conduite à droite. Attention, le Chileno aime être devant vous…
 
En bref
Accueil très sympa de la population, plutôt serviable, courtoise dans l’ensemble et souriante. Les gens montrent de l’intérêt pour notre voyage et nos questionnements. Grande variété de paysages entre le Nord et le Sud.
Infos pratiques Argentine (sauf Iguascu et Buenos Aires) : Mars 2011
 
Monnaie : Pesos Argentin. Environ 4 pesos = 1 USD
Possibilité de retirer des pesos dans tous les distributeurs automatiques.
Formalités de douane : Entrée par la douane du Paso Cardenal (Bariloche), sortie par le Paso de Jama (Salta). Aucune difficulté d’immigration, pas de visa, pas besoin de carnet de passage en douane. En revanche, voir la rubrique assurance véhicule.
Visa : néant.
Immigration : Cinq minutes. Rien à signaler.
Véhicule : un document d’importation provisoire est délivré, valable 8 mois.
Assurance véhicule : Exigée pour obtenir le document d’importation. Pas de bureau de vente d’assurance à la douane argentine. Il faut se procurer l’assurance au Chili. Il y a un courtier à la douane chilienne, de l’autre côté du col, à 40 km ! Nous avons du y retourner… Attention, les tarifs sont prohibitifs (60 USD pour 3 jours). Mieux vaut se renseigner à Osorno et prendre le temps d’y faire les démarches nécessaires.
Une fois à Bariloche, on peut contracter une assurance longue durée à prix acceptable : la Compagnie La Segunda nous a fait une assurance valable 1 année pour l’Argentine et pays du MercoSur : Chili, Brésil, Paraguay, Uruguay, Pérou, Bolivie. 400 USD pour les 12 mois. En principe, ils ne font que 6 mois, mais on obtient facilement les 12 mois si nécessaire.
Carnet de passage en douane : pas besoin.
Taxes de sorties : Aucune.
Taxes supplémentaires : Aucune.
Tracasseries administratives : voir assurance véhicule.
 
Voyager
Le pays est immense, les distances très longues. Les paysages peuvent être magnifiques, en particulier les ciels, les roches du Nord, les lacs et glaciers du Sud. Ce pays ravira les amateurs de très grands espaces et de nature vierge. En ce qui concerne les rencontres en revanche, nous sommes restés un peu sur notre faim. Peu d’originalité dans cette population, qui n’est pas très ouverte au premier abord. Question faune, la péninsule Valdès et la côte environnante reste un endroit exceptionnel pour l’observation et la découverte des baleines, pingouins, oiseaux et autres mammifères marins. Dans les terres, les guanacos (sortes de Lama), les condors, tatous et autres lièvres et renards agrémentent le voyage.
 
Routes.
Il y a des routes pour tous les goûts : on peut passer son temps sur les pistes de Patagonie ou celles de montagne pour découvrir les nombreux cols. On peut aussi épargner la mécanique et ses nerfs grâce au réseau routier. La mythique Ruta 40 est une alternance de piste et de route asphaltée. Dans sa partie piste en direction du glacier Perito Moreno depuis Bariloche, elle est en bon état et permet de tenir un bon 60 km/h en général.
 
Bivouacs. Grande liberté. On s’arrête où l’on veut. Ce pays offre des bivouacs isolés  de toute beauté, sans risques et sans difficulté.
 
Quelques bons bivouacs :
Lago Buenos Aires : Depuis le village Perito Moreno (qui n’a rien à voir avec le glacier), prendre la direction de Chile Chico. Environ 15-20 km et l’on est au  bord d’un lac sublime.
 
Glacier Perito Moreno : une fois au glacier, il y a 2 parkings, un en-bas et un en-haut. Celui d’en-haut est réservé aux déposes de passagers pour les collectivo. On ne peut y stationner qu’entre 8 et 10h le matin et 17h à 20h le soir. En revanche, possibilité de dormir sur le parking d’en-bas, sans avoir à se cacher. Finalement, très pratique et confortable.
 
Lago Roca (à 30 km du glacier Perito Moreno) : camping libre, superbe. Lac, grands espaces, vue sur le glacier au loin.
 
Péninsule Valdès : ici les règles sont strictes, on ne bivouaque pas n’importe où, mais seulement dans le village de Puerto Piramide ou sur la playa Bardellas. Dans le village, on trouve un camping glauque et inutile. On peut aussi stationner gratuitement au bout de la plage sur une zone réservée aux campings-cars.
Le mieux est de faire ses pleins de provisions et de s’installer à la playa Bardellas à laquelle on accède par une bonne piste de 15 km. Depuis Puerto Piramide, prendre la direction de Punta Norte, puis juste avant la première grille « garde-animaux », prendre la piste qui part à droite.
 
San marcos de la Sierra (Entre Cordoba et Tucuman) : très joli village à l’ambiance nature-détente. Produits naturels, artisanat, rivière, biquettes. Un endroit paisible et simple. Ne pas hésiter à quitter le village et à faire les 10 km pour aller au bord de la plus grande rivière.
 
Quebrada de Cafayate : où ça vous plaît. C’est superbe.
 
Salta : le camping municipal reste un classique. Il peut être soit vide soit bondé, tout comme sa piscine gigantesque. Pas vraiment propre. Un bon endroit pour rencontrer d’autres voyageurs.
 
Budget. Pas vraiment moins cher que le Chili, en général tarifs proche de la moitié des prix européens.
 
Approvisonnements
Eau : Aisé, dans les stations service, voire dans les rivières ou lacs. L’eau est souvent potable en plus.
Carburant : 2 sortes de diesel : Ultra Diesel à 0.90 USD / litre ou Euro Diesel à 1,20 USD/litre. Le premier convient parfaitement en général. Apparemment, les véhicules aux normes Euro4 ou plus récents devraient privilégier le second.
Gaz GPL : Les stations service n’ont que du GNC. Nous n’avons pas réussi à faire remplir notre réservoir de GPL.
Lessive : 7 dollars la machine de 5 kg environ.
Sciure : Comme d’habitude, pas de problème.
 
Divers
Internet : Ca marche bien, on trouve aisément des connexions et des wifi.
Conduite : Conduite à droite. Attention, priorité de droite dans les rond-points. Attention aussi aux manœuvre de dépassement sur les pistes de ripio : une voiture en plein dérapage nous a heurtés : mieux vaut ralentir et laisser passer.
 
En bref
Pays très facile, ambiance nature, accueil moyennement chaleureux des habitants. Mode de vie occidental, sans grand intérêt. On vient surtout en Argentine pour se sentir libre, loin de tout et de tous et y contempler quelques pures merveilles naturelles : lacs, glaciers, cols, baleines, curiosités géologiques.
 
Voir ci-dessous compléments d'infos pratiques sur l'Argentine, accès direct en cliquant ici.
Infos pratiques Chili, région d’Atacama : Avril 2011
 
Monnaie : Pesos Chilien. 1000 pesos = 2 USD
Possibilité de retirer des pesos dans tous les distributeurs automatiques.
Formalités de douane :
Arrivée par le Paso de Jama à la douane de San Pedro de Atacama. Aucune difficulté d’immigration, pas de visa, pas besoin de carnet de passage en douane. Attention : contrôle phyto-sanitaire, voire rubrique tracasserie
Visa : néant.
Immigration : Cinq minutes. Rien à signaler.
Véhicule : un document d’importation provisoire est délivré, valable 3 mois.
Assurance véhicule : Pas nécessaire.
Carnet de passage en douane : pas besoin.
Taxes de sorties : Aucune.
Taxes supplémentaires : Aucune.
Tracasseries administratives : contrôle phytosanitaire. Sont interdits à l’importation en principe : fruits, légumes, viande, produits laitiers, graines (mais, lentilles séchées) artisanat en bois, objet en bois non peint, condiments, miel, œufs.
 
Dans les faits pour nous, nous avions mangé nos produits frais, caché confitures et olives et déclaré une motte de beurre et des lentilles cuites, seules choses qui restaient dans notre frigo. Nous avions aussi caché notre encens. Le douanier a jeté un œil sans rien faire ouvrir et s’est contenté d’une question : pas de fruits, pas de légumes ? D’autres voyageurs ont passé 4 heures en douane, vidé le véhicule et laissé sur place leur cagette en bois.
 
Voyager
Pas de difficultés majeures. Se renseigner sur l’état des routes et des pistes. Les chauffeurs de collectivo sont de bonnes références.
 
Routes. Beaucoup de piste, mais dans l’ensemble en bon état et praticable.
 
Bivouacs. Grande liberté. On s’arrête où l’on veut.
 
Quelques bons bivouacs :
 
Près de San Pedro, au bord du Rio. Prendre la direction du Pukhara de Quitor, à droite quand on sort du village en direction de Calama. Quelques passages à gué sans gravité en principe. Possibilité de bivouaquer au bord de l’eau.
 
Valle de la Muerte. A 2 kilomètres à la sortie de San Pedro en direction de Calama, prendre à droite dans le virage en direction de Quebrada del Sal. Une petite piste défoncée s’enfonce dans les reliefs. Possibilités de bivouaquer quelques 200 mètres avant le banc de sable.
 
Laguna Chaxa. Sur le parking de la Laguna Chaxa, en plein Salar. Sublime.
 
Laguna Cejar et Ojos del Salar. Depuis San Pedro, prendre la route direction Toconao. Après quelques 10 km, une flèche indique la Laguna Cejar à droite. Suivre la piste en prenant garde aux bancs de sable. Selon la saison, ils peuvent être traîtres. Possibilité de bivouaquer à la Laguna Cejar ou 12 kilomètres plus loin, aux Ojos del Salar.
 
Geyser del Tatio. Compter 4 bonnes heures de route.  Depuis San Pedro, prendre la direction de Tatio. Au kilomètre 27 environ, bifurcation Tatio / Machuca. Suivre Machuca. C’est la nouvelle route, qui reste bitumée jusqu’au village de Machuca au kilomètre 50. Un passage à gué assez profond et d’eau gelée marque l’entrée du village. Bien balisé, il se passe sans encombre. Ensuite, 40 km de piste de tôle ondulée jusqu’aux geysers. On peut bivouaquer sur place. Altitude 4'300m.
En ce qui nous concerne, nous recommandons l’excursion en partant en matinée. Passer l’après-midi dans les piscines à 40°C, seuls au monde. Puis redescendre en fin d’après-midi. L’expédition matinale à 6h du matin n’apporte pas grand chose au spectacle des geysers. Quant à la nuit sur place, en raison de l’altitude, elle peut se révéler très longue et peu reposante.
 
Plage. Entre Antofagasta et Tocoquila, la plage de Punta Itata offre un bivouac sauvage et naturel. Nous avons eu l’occasion de nager avec quelques otaries. Attention, eau gelée !!
 

Approvisonnements
Eau : A San Pedro, à la station Copec dans le village. A Calama, à la station Shell, sortie de la ville, direction Chiquiquito. Robinet dispnible aux toilettes.
 
Gaz GPL : A Antofagasta, possibilité de faire le plein de GPL. Suivre l’Av. Rundic en direction du Nord, jusqu’au Sodimac. Au carrefour devant le Sodimac, il y a une station PetroBras. Tourner à droite avant la station et suivre la rue jusqu’à la station Lipigas. (Calle Rodomico Tonic, numéro 7329.)
 
A Iquique et Arica, GPL disponible également chez Lipigas, à la pompe.
 
Lessive : 1500 pesos le kg
 
Sciure : A Calama, nous avons trouvé une menuiserie et des sacs de sciure. A l’extrémité Sud de l’Av. Balmaceda.
 
En bref
Accueil sympa de la population, même si San Pedro est plus touristique. Plutôt serviable, courtoise dans l’ensemble et souriante.
Infos pratiques Pérou, Mai 2011
Monnaie : Soles. Environ 3 soles pour 1 USD.
Possibilité de retirer des soles dans les distributeurs automatiques. Attention à la limite de retrait plutôt basse.
Formalités de douane :
Arrivée par la douane d’Arica-Tacna. Gros poste frontière, très fréquenté, donc on attend. Il faut d’abord aller acheter 4 exemplaires d’un formulaire, au premier étage du bâtiment principal. Il s’obtient à la caisse de la cafétéria.
Visa : néant.
Immigration : Remplir le document avec la liste des passagers, puis se présenter au guichet.  
Véhicule : se présenter à la petite cabane en bois du côté sortie Pérou. Le véhicule est enregistré dans le système informatique.
Assurance véhicule : Obligatoire. Nous avions l’assurance argentine, valable au Pérou.
Carnet de passage en douane : pas besoin, mais nous l’avons présenté et obtenu un tampon sans autre document.
Taxes de sorties : Aucune.
Taxes supplémentaires : Aucune.
Tracasseries administratives : Aucune.
 
Voyager
Pas de difficultés majeures.
 
Routes. Longues, dans l’ensemble en bon état. Les péages sont chers (7 à 15 soles pour des roues jumelées par tranche de 60-100 km le long de la côte). Heureusement, certains ne se paient pas.
 
Bivouacs. Régulièrement nous avons dû suivre les instructions locales (polices ou habitants) pour sécuriser notre bivouac. Le nord est réputé moins sûr que le sud.
 
Quelques bons bivouacs :
 
Côte Sud : Mollendo : sur la plage à côté des parcs aquatiques.
 
Canyon de Colca : à Chivay, on peut stationner directement sur le parking des aguas calientes.
 
Cusco: Le camping Quinta Lala n’est pas connu sous ce nom. Il se trouve à 50 mètres de l’entrée du site Sacsayhuaman, bien plus facile à trouver. Pour y accéder sans peine, il vaut mieux :
- en arrivant dans la ville depuis Puno ou le Sud, viser le centre ville et juste avant d’arriver dans le centre, prendre à droite en direction de la Vallée Sacrée et de Pisac. La route monte en lacets larges. Arrivé au parking du site Sacsayhuaman, prendre à gauche et gagner l’entrée du site, qui se trouve de l’autre côté de la colline. Une fois devant l’entrée du site Sacsayhuaman, prendre le chemin qui part à droite dans l’épingle à cheveu. On y est.
- depuis la vallée sacrée, prendre à droite au parking du site Sacsayhuaman et rejoindre l’entrée du site de l’autre côté de la colline, comme décrit ci-dessus.  
 
Depuis la ville, un taxi vous prend entre 6 et 10 soles pour vous guider si nécessaire.
 
Sources de Curahuasi (Sur la route entre Cusco et Nasca) : Avant Abancay en venant de Cusco, on repère l’endroit grâce à une arche qui signale la piste d’accès.
 
Côte Nord :Mancora et Huanchaco : bivouac sur la plage sans difficulté et au calme.
 
Approvisonnements
Eau : Dans les stations services, comme d’habitude.
 
Gas GPL : Les villes sont toutes équipées de station-service GPL où l’adaptateur européen fonctionne à merveille !
 
Lessive : 3 à 4 soles le kilo.
 
Sciure : Pas de problèmes.
 
En bref
Accueil très sympa de la population, qui se montre serviable et disponible. Ravitaillement aisé à tous les niveaux, on trouve tout au Pérou, y compris sur le plan mécanique et bricolage. Dès qu’on sort un petit peu de l’axe principal, on découvre des lieux magiques où il fait bon se poser.
Infos pratiques Equateur, Juin 2011
 
Monnaie : Dollar américain.
Distributeurs partout.
Formalités de douane :
Entrées par la douane de Machala au Sud et Tulcan au retour de la Colombie. Sorties par Tulcan au Nord, puis par Macara pour le Pérou. Dans tous les cas, extrêmement simple.
Visa : néant.
Immigration : Un tampon, 90 jours d’autorisation de séjour.
Véhicule : Un tampon dans le carnet de passage en douane en 3 minutes. Sans le carnet, tout aussi facile.
Assurance véhicule : Non obligatoire. Nous n’en avons pas pris.
Carnet de passage en douane : pas besoin, mais nous l’avons présenté et obtenu un tampon sans autre document.
Taxes de sorties : Aucune.
Taxes supplémentaires : Aucune.
Tracasseries administratives : Aucune.
 
Voyager
Pas de difficultés majeures.
 
Routes. Dans l’ensemble, bon état. Quelques tronçons avec trous et bosses sur le sud de la panaméricaine et sur la route du massif de Chandul.
 
Bivouacs. Plutôt libres et sans difficultés. Dans les villes, parking gardés, pas toujours aisés à trouver avec un véhicule haut et long.
 
Quelques bons bivouacs
Oriente : Sur la route entre Puyo et Tena dans l’Amazonie, bivouac en bordure de rivière à 45 km au Nord de Puyo. Village à 5 minutes à pied.
 
Cuenca : parking gardé à l’angle des rues Pio Bravo et Coronel Talbot. Parking tout simple et un brin étriqué, mais bien placé, bon accueil et tarif correct. Attention, porte d’entrée haute mais plutôt étroite. Maximum 2,30 probablement.
Connexion wi-fi, possibilité de se brancher au 110 Volt (ok pour les ordinateurs) et de faire le plein d’eau.
 
Approvisonnements
 
Diesel : 1,037 dollar le gallon de 3,8 litres !! On le boirait… Attention, aux abords des frontières vers la Colombie comme vers le Pérou, l’armée équatorienne surveille et restreint la vente de carburant. Prévoir de remplir les réserves avant d’arriver à la frontière.
 
Eau : Dans les stations services, comme d’habitude.
 
Gas GPL : Il n’y en a pas.
 
Lessive : moins d’un dollar le kg.
 
Sciure : Pas de problèmes.
 
En bref
Pays très agréable à voyager. Les distances sont courtes, les routes plutôt bonnes. Grande variété de paysages entre la côte, la sierra centrale et l’oriente amazonien. Bon accueil de la part de la population.
L’Equateur est riche en cultures, qu’elles soient végétales, artisanales ou vestimentaires. Cacao, café, bananes, canne à sucre, fruits… On voyage dans un immense marché grandeur nature. Dans les marchés eux-mêmes, ce sont les costumes et les traditions qui ont la part belle. Qu’on soit en ville ou en campagne, tout respire l’authenticité, le vrai, le coloré, le bon.
A plusieurs reprises nous avons eu des coups de cœur : le bord de rivière entre Puyo et Tena, la route du massif de Chandul entre la côte et Quito, la ville de Cuenca, les paysages du Sud.
Pour observer ou approcher les volcans, prévoir du temps. Souvent les conditions climatiques ne permettent ni l’un ni l’autre si l’on n’a qu’un ou deux jours sur place.
Infos pratiques Colombie, Juin 2011
Monnaie : Pesos. Environ 2’000 pesos pour 1 dollar USD.
Distributeurs partout.
Formalités de douane :
Entrées par la douane de Tulcan, depuis l’Equateur. Simplissime et rapide.
Visa : néant.
Immigration : Un tampon, 90 jours d’autorisation de séjour.
Véhicule : Un tampon dans le carnet de passage en douane en 5 minutes. Sans le carnet, tout aussi facile.
Assurance véhicule : Non obligatoire. Nous n’en avons pas pris.
Carnet de passage en douane : pas besoin, mais nous l’avons présenté et obtenu un tampon sans autre document.
Taxes de sorties : Aucune.
Taxes supplémentaires : Aucune.
Tracasseries administratives : Aucune.
 
Voyager
Nous avons suivi l’axe de la Panaméricaine de la frontière au Lac Calima et retour. Pas de problèmes de sécurité en particulier, mais plusieurs avertissements de la part des locaux dans la région du Cauca. Sécuriser ses bivouacs et éviter de s’enfoncer dans la forêt sans autres précautions.
 
Routes. Dans l’ensemble, mauvais état dans cette partie du pays. Trous, bosses, très sinueuses et nombreux reliefs. On ne roule pas vite.
 
Bivouacs. A sécuriser.
 
Quelques bons bivouacs :
Agua Tibias : dans les environs de Popayan, endroit idyllique et nature, en altitude et au frais. Calme absolu, sources chaudes, détente. Possibilités de jolies ballades dans le coin.
 
Lago Calima : Windsurfing Calima, école de kite et de windsurf. 20'000 pesos la nuit (10 USD), connexion wi-fi, piscine, lac. Joli cadre. Un peu bruyant le week-end : jets-skis, ski nautiques, musique.
 
Approvisonnements
 
Diesel : 4 à 6 dollars le gallon de 3,8 litres !! Faire des réserves en Equateur si possible. Attention, aux abords de la frontière, l’Equateur restreint la vente de carburant.
 
Eau : Dans les stations services, comme d’habitude.
 
Gas GPL : Il n’y en a pas.
 
Lessive : moins d’un dollar le kg.
 
Sciure : Pas de problèmes.
 
En bref
Beaux paysages, verts et montagneux. Population touchante et généreuse. Prendre le temps pour créer le contact.
Infos pratiques Bolivie, Juillet-août 2011
Monnaie : Bolivianos. Environ 10 Bol pour 1 Euro
On trouve des distributeurs dans les villes, mais mieux vaut prévoir un peu de marge et ne pas trop compter dessus.
 
Formalités de douane :
Entrée par la douane de Putre-Sajama, sur la route Arica-Oruro.
Visa : néant.
Immigration : Un tampon, 90 jours d’autorisation de séjour.
Véhicule : Il faut d’abord procéder à l’enregistrement du véhicule et pour cela présenter des photocopies du permis de conduire, de certificat de propriété, de la carte grise/immatriculation, du passeport du conducteur. Les bureaux sont à quelques pas du poste de douane.
Assurance véhicule : pas d’information.
Carnet de passage en douane : pas besoin, ils ne le tamponnent pas et établissent un document d’importation provisoire à la place.
Taxes de sorties : Aucune.
Taxes supplémentaires : Aucune.
Tracasseries administratives : Aucune.
 
Voyager
Voyager en Bolivie procure un goût d’aventure que l’on éprouve moins dans les pays voisins. Diverses difficultés peuvent se présenter :
- l’altitude, à laquelle on s’habitue progressivement. Des infusions de feuille de coca peuvent aider à supporter. Sinon, le médicament « sorojchi pills » fonctionne particulièrement bien et assure de bonnes nuits. Il se trouve dans tous les cas au Pérou et en Bolivie, fabriqué en Bolivie.
- les bloqueo, barrages routiers fréquents imposés par des groupes de personnes désirant faire pression sur le gouvernement. Personne ne passe à travers. Ca dure entre 1 et un nombre indéfini de jours. Nous n’avons cependant pas entendu de récits faisant état d’un bloqueo de plus de 3 jours.
- pénurie en carburant. Les stations services ne sont pas toujours approvisionnées, en diesel ou en essence, c’est le même problème. Mieux vaut donc avoir des réserves et une bonne autonomie. En plus, les stations refusent souvent de remplir des jerricanes d’essence, parce qu’ils sont assimilés à l’utilisation des générateurs électriques nécessaires aux producteurs de cocaïne.
Autre problème, certaines stations seulement sont autorisées à vendre du carburant aux véhicules de plaques étrangères. A Oruro, c’est la station YPFB « 5 esquinas » au centre ville. Celles des environs orientent inlassablement vers celle-là. Dernière chose concernant le carburant, les stations services à proximité des frontières sont autorisées à facturer le double du prix aux véhicules de plaques étrangères. Quoi qu’il en soit, cela reste en général meilleur marché qu’au Chili, Pérou ou Brésil. Mais attention au risque de pénurie…
Cela dit, nous n’avons pas eu de difficultés majeures pour nous approvisionner en diesel. Notre autonomie de 1'200 km nous a permis de gérer. A chaque fois que cela se présentait, nous avons néanmoins fait le plein. En outre, d’une frontière à l’autre (Chili-Brésil), on ne nous a jamais facturé le double du prix.
Se renseigner pour La Paz.
- le froid. Dans l’altiplano au mois d’août, la température peut descendre jusqu’à moins 20°C ou pire. Nous n’avons eu que -15°C. Cependant, cela suffit à rendre le démarrage matinal difficile. On se parque alors moteur face à l’Est pour profiter des premiers rayons du soleil. Mais malgré cela, nous avons rarement démarré avant 10h-10h30. A ce propos, ne pas oublier ses panoplies d’anti-gel diesel et liquide refroidissement.
 
Routes
Les routes en Bolivie sont en cours de construction. La plupart des pistes non asphaltées sont en mauvais état. Nous avons opté pour la route asphaltée au maximum, afin de ménager notre véhicule.
Sur l’axe Arica-Oruro-Potosi-Sucre, la route est parfaitement asphaltée et en très bon état. Idem, pour Oruro-la Paz ou Oruro-Cochabamba-Santa-Cruz. Le tronçon Sucre-Cochabamba est en pavés et secoue pas mal paraît-il. La route Potosi-Uyuni est bientôt terminée elle aussi. Il reste 3 tronçons de piste de 60-70 km chacun, mais en bon état. Pour accéder au Salar depuis Uyuni, il reste une piste de 20 km en tôle ondulée sévère et lente. Apparemment, c’est la même piste qui va directement d’Uyuni à Challapata.
Sur le Salar, pas de souci en saison sèche.
A l’Est, le tronçon Okinawa ll - Montero est une piste, difficile sur les derniers 3 km, avec deux passages de sable profond et un pont-barge inquiétant. Il paraît que le tronçon de Santa-Cruz à San Jose de Chiquitos par la route directe et en cours de construction. La route est asphaltée presque entièrement ; on nous a dit qu’il ne reste que 35 km de piste, mais particulièrement défoncée, voire impraticable sans un véhicule approprié. Probablement qu’en 2012, la route sera terminée.
La variante « piste des missions » offre une route asphaltée de San Juan à Conception. Ensuite, c’est de la piste de terre et pierres en bon état. Ca secoue beaucoup, nous l’avons baptisée la route à 40, ce qui est la vitesse constante praticable sur cette piste. Les paysages sont magnifiques.
 
Bivouacs. Libres et somptueux, en pleine nature.
 
Quelques bons bivouacs :
Parc national de Sajama : le décor est féérique, la calme absolu est garanti. Le prix d’entrée est un peu excessif (30 Bol et 15 pour les enfants). Bains thermaux à l’intérieur du parc, dans petit bassin naturel, un délice.
 
Oruro : à 20 km d’Oruro en direction de Cochabamba, le parking des thermes Las Obrajes offrent un bivouac tranquille et sympa.
 
Potosi : à 20 km environ avant Potosi en arrivant d’Oruro, le village de Tarapaya offre une halte agréable. L’Ojo del Inca, une lagune circulaire à 32 degrés dans un cadre magnifique. Là aussi le prix est moins agréable (25 Bol par personne, enfant ou adulte indifféremment). Négociation possible, mais accrochez-vous !
 
Potosi : en ville de Potosi, le parking de l’Hôtel Copacabana en plein centre ville est parfait. Eau, WC et douches à disposition. L’Hôtel est mentionné dans les guides Routard et Lonely. Tarif : 50 Bol par véhicule, peu importe le nombre de personnes. Accès facile, hauteur et largeur non limitées.
 
Salar d’Uyuni : où bon vous semble. Attention au vent ! Quelques coordonnées GPS pour retrouver son chemin au retour :
- l’entrée et la sortie du salar : S20°19.077 / W066°58.276
- hôtel de sel : S20°19.822 / W067°02.826
- île des pêcheurs : S20°14.459/W067°37.647
 
Cochabamba : super parking avec accès aisé sans limite de hauteur et de largeur, sur l’avenue Jose Ballivian, (attention, cette avenue est appelée El Prado par les locaux). Nom du parking : JKDealership, en face du Burger King. WC, eau et wi-fi à disposition. Patron super sympa. Tarif : 10 Bol par nuit. Le gardien a tendance à dormir dans une voiture, repérez laquelle si vous pensez avoir besoin de lui pour sortir ou entrer pendant la nuit… Inconvénient : assez bruyant, car sur la grande avenue.
 
Aguas Calientes, El Puente
A 5 kilomètres du village d’Agua Calientes, une petite île cerclée d’une rivière à 35°C, environnement propre et calme, très chouette. GPS : S18°28.021 /W059°29.766
 
Aguas calientes : las Hervires, juste à côté du camping Miraflores dont l’entrée est trop basse pour un camping-car. Baignade dans la rivière à plus de 40°C, avec des trous de sables mouvants sans danger et très ludiques. Nombreux menonites sur place.
 
Approvisonnements
 
Diesel : lire la rubrique « voyager en Bolivie ». Prix normal : 3.72 Bol/ litre.
 
Eau : Dans les stations services, comme d’habitude, sauf quand les conduites sont gelées.
 
Gas GPL : pas cherché.
 
Lessive : environ un dollar le kg.
 
Sciure : Pas de problèmes, en particulier dans l’Est du pays.
 
En bref
Certains voyageurs perdent leurs repères en Bolivie après avoir voyagé ailleurs en Amérique du Sud. Pour chaque besoin de consommation, on fait son marché, on parcourt les rues des villes et des villages à la recherche de l’échoppe, du stand ou du bonhomme qui vend ce qu’il nous faut. C’est ce que nous avons aimé justement. Sans être nécessairement de l’aventure extrême, le pays offre un vrai dépaysement. Les paysages sont hallucinants, les régions très variées et les intérêts multiples. On trouve forcément quelque chose à son goût ici, tant il y a de diversité. Et pour les plus aventureux, les occasions de se dépasser ne manquent pas. En bref, c’est l’un de nos coups de cœur en Amérique du Sud.
Infos pratiques Brésil - Septembre 2011
Monnaie : Reals.
 
Formalités de douane :
Entrée par la douane de Corumbà
Visa : néant
Immigration : Un tampon, 90 jours d’autorisation de séjour.
Véhicule : Un  document d'importation provisoire est établi à la frontière.
Carnet de passage en douane : pas besoin, ils ne le tamponnent pas et établissent un document d’importation provisoire à la place.
Taxes de sorties : Aucune.
Taxes supplémentaires : Aucune.
Tracasseries administratives : Aucune.
 
Voyager
Nous avons suivi l'axe principal de Corumbà à Foz d'Iguazu. Rien de particulier à signaler, sinon que le long de la route nationale qui borde le Pentanal, on observe de nombreux animaux, en particulier les caïmans.
 
Routes
Rien à signaler, routes en bon état, circulation correcte.
 
Bivouacs. Sécuriser les bivouacs revient à privilégier les stations services ou campings. A Foz d'Iguazu, le camping qui est en ville est correct, quoiqu'un peu cher. Le camping aux abords des chutes d'Iguazu est à l'abandon et le camping sauvage est déconseillé.
 
Approvisonnements
 
Diesel : environ 1,20 dollar le litre
 
Eau : Dans les stations services, comme d’habitude, sauf quand les conduites sont gelées.
 
Gas GPL : pas cherché.
 
Lessive : pas cherché.
 
Sciure : PAs cherché.
 
En bref
Passage trop bref dans le pays pour pouvoir alimenter cette rubrique. Mais dans l'ensemble, une fois quon se fait au portugais et au langage avec des mains, c'est plutôt simple dans cette région.
Infos pratiques Argentine / Compléments - Septembre 2011
 
Dans la province d’Entre-Rios, la police est encore plus présente et pressente que dans les autres provinces. Tous les coups sont permis pour tenter d’extorquer de l’argent aux touristes et voyageurs. Voici, ce qu’il faut savoir pour ne pas pourrir les corrompus et son voyage :
 
- les véhicules étrangers ne sont pas tenus d’être équipés comme les véhicules locaux. Dès lors que le permis d’importation provisoire est décerné à la douane, le véhicule est reconnu conforme.  
- si par malchance un policier tient absolument à vous infliger sa multa, laissez-le faire, mais insistez pour procéder dans les règles de l’art. En Argentine, on ne paie jamais son amende au policier directement. Jamais ! On laisse ses papiers au poste, puis on se rend à la banque où l’on procède au versement de la somme. En présentant le reçu à la police, on récupère ses papiers. Le truc, c’est que tout cela n’intéresse pas la police qui ne voit pas la couleur de votre argent. Donc, dans tous les cas, elle vous laissera partir si vous déclarez simplement ne pas avoir d’argent liquide sur vous et être d’accord de payer à la banque grâce à votre carte bancaire…
- cela dit, se munir du matériel de base suivant permet souvent de couper court à la conversation et de vous sortir d’affaire : 2 triangles de panne, bandes réfléchissantes sur les 4 faces du véhicule, sigle 90 à l’arrière, trousse de secours, extincteur et barre de remorquage.
 
Péninsule Valdès-Puerto Madryn
Il y a la possibilité de voir les baleines sans s’acquitter du billet d’entrée dans le parc national de la péninsule Valdès. Pour cela, prendre la piste numéro 1 qui part de Puerto Madryn en direction de la péninsule et rejoindre les plages Doradillo et Canteras, qui se succèdent le long de la côte. Se munir avant cela des horaires de la marée, puisque c’est essentiellement à marée haute que les baleines approchent de la plage. Bivouac possible et tranquille. A marée haute, quelques bus touristiques débarquent leurs passagers, sans que cela ne gâche le plaisir.
 
Voir aussi les infos pratiques générales pour l'Argentine en cliquant ici.
Infos pratiques Uruguay - Septembre 2011
Monnaie : Pesos, env. 20 pesos pour 1 USD
 
Formalités de douane :
Entrée depuis l'Argentine. Douane commune pour les deux pays, les douaniers tamponnent les passeports ensemble. Un avis mentionne un contrôle sanitaire avec interdiction d'importation de nourriture. Dans la pratique, il n'y a eu contrôle de cet ordre.
Visa : néant
Immigration : Un tampon, 90 jours d’autorisation de séjour.
Véhicule : Un  document d'importation provisoire est établi à la frontière, 1 année d'importation autorisée, renouvelable à chaque nouvelle entrée dans le pays.
Carnet de passage en douane : pas besoin, ils ne le tamponnent pas et établissent un document d’importation provisoire à la place.
Taxes de sorties : Aucune.
Taxes supplémentaires : Aucune.
Tracasseries administratives : Aucune.
 
Voyager
Voyager en Uruguay est très cher par rapport aux autres pays d'Amérique du Sud. Attention au budget !
 
Routes
Rien à signaler, routes en très bon état, circulation très modérée dans l'ensemble, même à Montevideo.
 
Bivouacs. Libres. A Montevideo, nous avons bivouaqué sur la Plaza de la Republiqua Argentina, le long de la Rambla vers l'Est.
 
Hotel à Montevideo : tout est hors de prix. Nous avons trouvé cependant l'Hotel Rio de la Plata en plein centre. 40 USD pour une chambre à 4 lits où nous avons dormi à 6. Confort sommaire, mais suffisant. Douche, WC dans la chambre. Comme on dit, c'est un hôtel qui a plus de lits que d'étoiles et ça nous convient très bien.
Adresse : Av. 18 de Julio, entre les rues Rio Branco et Andes. En face de l'Hotel Los Angeles, légèrement décalé en direction de la place Independenza.
 
Approvisonnements
 
Diesel : Très cher. 1,60 dollar le litre
 
Eau : Dans les stations services, comme d’habitude.
 
Gas GPL : pas cherché.
 
Lessive : 90 à 100 pesos la machine. Bon adresse à l'angle Andes / 18 de Julio.
 
Sciure : Pas cherché.
 
En bref
Passage très bref dans le pays pour pouvoir alimenter cette rubrique. Tout est vraiment cher.
Nous 6
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